Biographie de Dominique Uhlen
Dominique Uhlen est publiée depuis 2013. Très tôt engagée dans la lutte contre toutes formes de discrimination, notamment s’agissant des femmes, elle a présidé le Centre d’Information du Droit des femmes et des Familles de Clermont-Ferrand, et, parallèlement durant trente ans, occupé un poste de directrice dans une structure intervenant auprès de jeunes en difficulté. Elle a initié et contribué au niveau européen à des travaux de recherche sur le statut des jeunes filles issues de l’immigration.
Son engagement est toujours d’actualité.
Elle a été décorée chevalier de l’Ordre national du Mérite.
Un parcours forgé par les mots
Enfant, elle noircirait des carnets et envisageait (déjà) d’écrire. Sa passion a toujours été encouragée par ses maîtres et ses professeurs. Elle est celle à qui l’on demandait de rédiger un discours, un courrier, une lettre d’amour.
Les évènements de la vie ont agi comme un catalyseur dans son processus créatif et un entourage bienveillant l’ont incitée à partager ses écrits.
Ses Références, sa bibliographie
La lecture a toujours eu une place importante dans sa vie et cela dès son plus jeune âge. Influencée par certains auteurs, elle puise son inspiration dans les courants réalistes et naturalistes : Flaubert, Maupassant, Balzac, Zola, écrivains majeurs du XIXe siècle, et dans des œuvres qui marqueront sa sensibilité et orienteront ses choix de vie : « Le Chant du bourreau » Norman Mailer, « Les raisins de la colère » John Steinbeck ou encore « toilettes pour femmes » de Marilyn French. D’autres auteurs — la liste n’est pas exhaustive — la feront vibrer et cheminer : Sagan, Faulkner, Camus, de Beauvoir, Lemaitre, Salinger, Harper Lee, Nothomb, Ernaux, Divry, Slimani, etc..
Un style d’écriture immersive
Indiscrétions
Explorant les profondeurs psychologiques de ses héros du quotidien, à travers une écriture réaliste et non dénuée de poésie, Dominique Uhlen sait capturer l’attention des lecteurs et les tenir en haleine. On apprécie la fluidité de son style, son imagination, ses personnages bien campés, ses intrigues et sa subtile analyse des moeurs de nos contemporains.
Elle met trois ans (le temps d’une très longue convalescence suite à un accident) pour écrire un livre qu’elle ressortira des tiroirs quelques années plus tard, « Il reste une place au cimetière dans les allées impaires », alors que son premier livre édité « L’Adieu et les Larmes » est le livre pansement qu’elle écrit pour exorciser le décès de sa sœur disparue après une éprouvante longue maladie.
Elle s’essaye à la biographie, après une rencontre inattendue avec la joueuse internationale Colette Passemard — C.U.C, Clermont Université Club Clermont-Ferrand — qui a fait les beaux jours du basket français dans les années 1970.
Certains de ces ouvrages — des nouvelles, un roman — ont été primés
Elle dit : « J'aime écrire la nuit, je suis dans ma bulle. La ville endormie, ses silences et ses bruits étouffés m’inspirent ».
Il y a toujours une tasse de café brûlant pour l’accompagner.
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